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\documentclass{poster}
\setmainlanguage{french}
\title{Série \emph{\enquote{Pionnières de l’informatique}}}
\author{AÉDIROUM}
\date{février~2023}
\begin{document}\hspace*{-15pt}%
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
% KATHERINE JOHNSON
\begin{tikzpicture}
\definecolor{background tint}{HTML}{9da2cc}
\definecolor{text accent}{HTML}{e2ecfa}
\definecolor{text main}{HTML}{f4f6fa}
\background{images/johnson}
\name{Katherine}{Johnson}
{right}{south east}{([xshift=5pt]page cs:.95,.54)}
\biography
{(page cs:.2,.49) .. controls (page cs:.25,.125)
and (page cs:.62,.331) .. (page cs:.62,-.1)}
{(page cs:.95,.49) -- (page cs:.95,-.1)}{
\textbf{Katherine Goble Johnson} (1918--2020) était une
mathématicienne, physicienne et ingénieure spatiale. Pendant
plus de trente ans, elle a réalisé pour la NASA les calculs
de trajectoire complexes nécessaires à des
missions telles que \emph{Freedom~7} (première mission spatiale
étasunienne habitée en~1961) et \emph{Apollo~11} (premiers pas
sur la Lune en~1969). Plus tard, elle a contribué à la
transition vers l’utilisation d’ordinateurs pour réaliser ces
calculs.
}
\notice{%
\enquote{Katherine Johnson à son bureau
du \emph{Langley Research Center}}~(septembre~1966). NASA.
}{%
Tirés de Wikipédia en date du 11~février~2023.
}
\end{tikzpicture}
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
% GRACE HOPPER
\begin{tikzpicture}
\definecolor{background tint}{HTML}{c78a69}
\definecolor{text accent}{HTML}{ffd2ba}
\definecolor{text main}{HTML}{ffefe7}
\background{images/hopper}
\fill[black, opacity=.75] (page cs:-.85,-.5) rectangle (page cs:-.2,-.25);
\name{Grace}{Hopper}
{left}{south west}{([xshift=-5pt]page cs:-.815,-.45)}
\biography
{(page cs:-.815,-.5) -- (page cs:-.815,-.9)}
{(page cs:-.015,-.5) -- (page cs:-.08,-.9)}{
\textbf{Grace Murray Hopper} (1906--1992) était une
informaticienne et mathématicienne, l’une des premières à proposer
l’idée de langages de programmation indépendants des machines.
Elle a développé le premier compilateur, le \emph{A-0~System},
puis le langage \emph{COBOL}. Elle a aussi contribué au
développement et à la programmation des \emph{Harvard Mark~I} à
\emph{III}. Le \emph{bug} informatique le plus emblématique, un
insecte coincé dans un relais du \emph{Mark~II} en~1947,
fût découvert par son équipe.
}
\notice{%
\enquote{Grace Hopper examinant le mécanisme de séquençage du
\emph{Harvard~Mark~I}}~(août~1944). \emph{National Museum of
American History, Archives Center} (NMAH.AC.0324.36).
}{%
Tirés de Wikipédia en date du 11~février~2023.
}
\end{tikzpicture}
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
% MARGARET HAMILTON
\begin{tikzpicture}
\definecolor{background tint}{HTML}{7b8f5b}
\definecolor{text accent}{HTML}{e3f4c6}
\definecolor{text main}{HTML}{f7f8f4}
\background{images/hamilton}
\name{Margaret}{Hamilton}{right}{north east}{([xshift=-5pt]page cs:.75,.27)}
\biography
{(page cs:-.86,.12) -- (page cs:-.86,-.9)}
{(page cs:-.37,.12) -- (page cs:-.4,0) -- (page cs:-.4,-.9)}{
\textbf{Margaret Heafield Hamilton} (1936-) est une
informaticienne et ingénieure en logiciel. Elle a travaillé sur
le développement du logiciel embarqué des programmes
\emph{Apollo} et \emph{Skylab}, en particulier la mission
\emph{Apollo~11} qui a vu l’humain marcher sur la Lune en 1969.
Elle est à l’origine du terme \enquote{génie logiciel} et de
nombre de ses principes fondamentaux. Hamilton a contribué à
l’élever au même rang que les autres disciplines de génie.
}
\notice{%
\enquote{Margaret Hamilton posant avec le code source du logiciel
embarqué du programme Apollo}~(1969). \emph{MIT Museum,} restaurée par Adam Cuerden.
}{%
Tirés de Wikipédia en date du 11~février~2023.
}
\end{tikzpicture}
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
% ADA LOVELACE
\begin{tikzpicture}
\definecolor{background tint}{HTML}{8c882f}
\definecolor{text accent}{HTML}{fffdb0}
\definecolor{text main}{HTML}{fffeed}
\background{images/lovelace}
\name{Ada}{Lovelace}{left}{south west}{([xshift=-5pt]page cs:-.875,.27)}
\biography
{(page cs:-.875,.22) -- (page cs:-.875,.01)
-- (page cs:-.485,-.9)}
{(page cs:0,.22) .. controls (page cs:-.3,0)
.. (page cs:-.4,-.3) -- (page cs:-.4,-.9)}{
\textbf{Augusta Ada King, comtesse de Lovelace} (1815--1852)
était une mathématicienne, considérée comme la première
programmeuse de l’histoire. Dans un mémoire de 1843 sur la
\emph{machine analytique} de Babbage, elle décrit un programme
qui calcule les nombres de Bernoulli, comprenant la première
occurrence connue d’une boucle \enquote{tant que}. Lovelace
anticipe aussi le potentiel des machines à manipuler non
seulement des nombres, mais plus généralement toute forme de
données.
}
\notice{%
\enquote{Portrait d’Ada Lovelace par Alfred Edward Chalon}~(1838).
\emph{Computer History Museum.}
}{%
Tirés de Wikipédia en date du 11~février~2023.
}
\end{tikzpicture}
\end{document}